— moonlight sonata.
:: entrepôt :: lonely shade of blue
( # )
lys klausen-ferry
ALL CAPS, NIELS' BIATCH
tw — trouble de la personnalité borderline, addictions, abandon, auto-mutilation
elisabeth "lys"
klausen
ft. victoria de angelis adrenaline coated in sweet euphoria borderline personality disorder ☽ (emotional) disaster ☽ impulsive ☽ music ☽ voices in my head ☽ drugs in my veins ☽ fears ☽ kill silence ☽ niels ☽ lost kid ☽ folie douce violente ☽ empty
the only home I know is my bed
identité née sous x, comme une croix sur un accident. l’déni d’une ado condamnée parent. catin voulait même pas la regarder, encore moins la nommer. choisi sur l’tas, au hasard du bout du doigt. l’prénom trop long à prononcer dans une société où tout s’veut instantané. elisabeth ça sonnerait presque royal, ça fait penser à la reine alors que y’a qu’la pourriture souillant les veines. qu’au lieu d’la cuillère en argent y’avait qu’la misère plein les dents. {l y s } c’est plus court, ça donne pas l’temps de s’attarder lors des discours. {klausen } par emprunt; à la première famille qui en voulait bien. gamine pondue sur l’bitume, dernier espoir d’un couple qui s’consume. si vite adoptée, si vite oubliée. pour panser les plaies d’un amour forgé d’toxicité. fleur s’fane au gré des printemps; pétales s’meurent dans le vent. sans odeur, sans couleur. simplement une erreur.
âge l’temps passe trop vite, les souvenirs s’effritent. dans l’flou d’une existence sans importance. ecchymoses tatouées dans l’âme jusqu’à la fin d’ses jours. béance du palpitant en recherche d’amour. bercée par le tourment de ses songes; d’ce boucan incessant qui la ronge. l’impression d’avoir vécu plusieurs vies du haut d’ses {vingt-et-une } années meurtries. prisonnière de son propre enfer. liberté arrachée à l’enfance, prédateur profitant d’son insouciance. et par ses mots empoisonnés il l’avait convaincue, corrompu son être déjà souillé par une naissance indésirée.
origines/lieu de naissance premiers cris à mordre la poussière dans les bas fonds des enfers. débris sibyllins gravant l’encéphale, d’ces rues de {copenhague } capturées en rafale. nuances du dannebrog s’déversent dans ses racines. se sent ni d’ici ni d’là-bas, la vermine. autres origines inconnues au bataillon. y’avait que l’abandon qui rythmait sa vie comme une chanson. d’ces foyers qui n’en étaient pas, saleté passait d’toit en toit. entre la froideur de quatre murs face à sa solitude en démesure. épave emportée par l’océan en quête de l’autre continent.
occupation sentiments posés sur papier comme le reflet d’son coeur écorché. écrire pour s’évader; écrire pour respirer. gribouille ses maux sans jamais s’arrêter. {auteure-compositrice } aux paroles cicatrices. l’chaotique en musique. parsème les partitions à coup d’crayon. graphite colorant chaque portée de noir; d’ses notes de désespoir. l’âme en peine d’cette passion qui hurle à en perdre haleine.
orientation sexuelle l’amour en point d’interrogation. parasite en manque d’affection. cherche à corps perdu ce sentiment inconnu. rêve de tout en n’connaissant rien. l’coeur à vif pour l’être qui l’détient. {bisexuelle } aux désirs charnels. n’erre que dans l’tourment des histoires sans lendemain ou les idylles aux sombres desseins. d’ces touchers implorés pour se sentir e x i s t e r. épiderme s’embrase sous les baisers. euphorie factice; corps et âme offerts en sacrifice.
statut civil d’ses mots qui sonnent comme des rêves, comme des caresses au bout des lèvres. résonnent en ce coeur qui crie famine; l’écho d’émotions orphelines. coup d’foudre en plein milieu de l’orage. sentiments carnage. {a vendu son âme } au diable, menée dans sa danse macabre. lui, lui, lui. toi et moi pour la vie. de l’ivresse en promesse. d’voeux soufflés pour l’éternité. alliances échangés d’un coup d’tête. las vegas que rien n’arrête. deux ombres en perdition, myocardes gueulent à l’unisson. c’est gorgé de poison jusqu’à en perdre la raison. ils s’aiment, se haïssent. s’enchaînent, se pourrissent. d’baisers embrasés aux saveurs sanguines. les je t’aime qui s’arrachent d’sa langue assassine. les je te hais comblés d’(l)armes affûtées. putain d’bombes prêtes à exploser.
d’ton nom à jamais gravé en mon âme
à l’encre sang s’dessinent nos désirs infâmes
et on partira demain. loin, très loin.
vers l’infini et l’au-delà.
où personne ne nous trouvera.
n i e l s
caractère l’appel du vide. fait écho dans l’crâne, d’ses pensées qui se fanent. songes en ébullition. exquise (auto-)destruction . attention seeker. d’aurores en horreurs. tête sur l’point d’exploser. pourrie d’anxiété. insomnies & crises de f o l i e. touche pas à mon frère. myocarde cratère. volcan en éruption, magma aux mille et une illusions. s’mange des pilules de toutes les couleurs pour calmer ses peurs. s’défonce le gosier jusqu’à n’plus marcher. russian roulette. aime à en crever. s’meurt d’un amour empoisonné. love me harder; embras(s)e-moi avec fureur. les yeux revolvers. croix d’bois, croix d’fer; si j’mens je vais en enfer. boit les mensonges d’sa naïveté d’gosse abandonnée. impulsivité inexpliquée. this sounds illegal; i’m in. délicieuse vermine. ( paranoïa ). s’met dans tous ses états. émotions en vacarme. colère et crises de larmes. (( boom boom boom )) l’couteau jamais bien loin, fait couler l’sang d’ses propres mains. borderline; coquille vide en manque de sensations. les sens laissés à l’abandon. s’déchire la chair porcelaine, remède aux démons-gangrène. i felt so much that i started to feel nothing. les mots, les mots, les maux. tapisse l'papier de sang, hurle l’prénom de l’amant. mort l’appelle, faucheuse ensorcelle. tendance au suicide. langue perfide. poison gorge l’hémoglobine. baisers c o c a ï n e. jalousie maladive; passion excessive. i’d kill for you; i'll die with you. l’besoin d’aimer et d’être aimée. pour s’sentir vivre et s’voir mourir.
so long, farewell, i'm on my own
homeless
29/02 — 1m60 — $ — left-handed — rock — red — spring — burger — avec niels — arctic monkeys
« niels »
playlist
the 1975; robbers
the pretty reckless; make me wanna die
labrinth; still don't know my name
beethoven; moonlight sonata
astro la tête ailleurs, l’esprit rêveur. besoin de s’évader dans un autre univers, d’se nourrir d’illusions éphémères. comme une autre réalité qu’elle s’était créée. imagine sa vie comme une oeuvre cinématographique; une tragédie romantique chaotique. oubliée un 29 février, avec personne pour s’en rappeler. {pisces } errant dans son bocal; noyé dans un tourbillon infernal. émotions exacerbées, esquissées sur papier. l’existence comme un poème inachevé. point-virgule à chaque ligne. pense que tout est un signe. et l’coeur a ses raisons que la raison ignore. l’ivresse des sentiments, encore et encore.
particularités n’entend l’monde qu’à moitié, oreille gauche coupée d’son utilité. surdité d’perception quand vermine n’était qu’nourrisson. traumatisme sonore, décibels explosaient l’crâne toujours plus fort. insultes atténuées dans l’air quand les parents s’faisaient la guerre. et l’on pense à tort qu’elle fait pas attention; alors que y’a simplement aucun son. ☾☾ la droite compense, telle une seconde chance. oreille absolue ; quand musique devient son seul salut. ☾☾ l’esprit mis au repos pour taire les échos. voix démoniaques prenant possession d’sa raison. douce addiction. songes condamnées à l’exil; varie les plaisirs entre xanax et fentanyl ☾☾ fleuves parsèment la peau, cicatrices d’ces émotions qui coulent à flots. quand lame écorche et sang ruisselle le long de l’épiderme. pour calmer l’boucan incessant; se sentir vivante pendant un instant.
arrivé le : 05/07/2022
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faceclaim : vic de angelis
credits : MOI
turn on
klausen
(c) cassiopeias
the ends beginning
the only home I know is my bed
d’ton nom à jamais gravé en mon âme
à l’encre sang s’dessinent nos désirs infâmes
et on partira demain. loin, très loin.
vers l’infini et l’au-delà.
où personne ne nous trouvera.
d’la lame déposée au coeur,
tu me tuerais? ça me dérangerait pas.
et l’diable murmure avec douceur,
couteau glisse du bout des doigts.
un coup. j’pourrais en un coup.
tu me tuerais? ça me dérangerait pas.
et l’diable murmure avec douceur,
couteau glisse du bout des doigts.
un coup. j’pourrais en un coup.
and you don’t know if she’s gonna kiss you or kill you
off with the head
so long, farewell, i'm on my own
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tw; TPB, relation toxique, auto-mutilation elisabeth 'lys' klausenadrenaline coated in
sweet e u p h o r i akeywords ☽ keywords ☽ keywords ☽ keywords ☽ keywords ☽ keywords ☽ keywords ☽ keywords ☽ keywords ☽ keywords ☽ keywords ☽ keywords ☽ keywords ☽ keywordsnée sous x, comme une croix sur un accident. l’déni d’une ado condamnée parent. catin voulait même pas la regarder, encore moins la nommer. choisi sur l’tas, au hasard du bout du doigt. l’prénom trop long à prononcer dans une société où tout s’veut instantané.identité ça sonnerait presque royal, ça fait penser à la reine alors que y’a qu’la pourriture souillant les veines. qu’au lieu d’la cuillère en argent y’avait qu’la misère plein les dents. {elisabethl y s } c’est plus court, ça donne pas l’temps de s’attarder lors des discours. {klausen } par emprunt; à la première famille qui en voulait bien. gamine pondue sur l’bitume, dernier espoir d’un couple qui s’consume. si vite adoptée, si vite oubliée. pour panser les plaies d’un amour forgé d’toxicité. fleur s’fane au gré des printemps; pétales s’meurent dans le vent. sans odeur, sans couleur. simplement uneerreur.l’temps passe trop vite, les souvenirs s’effritent. dans l’flou d’une existence sans importance. ecchymoses tatouées dans l’âme jusqu’à la fin d’ses jours. béance du palpitant en recherche d’amour. bercée par le tourment de ses songes; d’ce boucan incessant qui la ronge. l’impression d’avoir vécu plusieurs vies du haut d’ses {âge vingt-et-une } années meurtries. prisonnière de son propre enfer. liberté arrachée à l’enfance, prédateur profitant d’son insouciance. et par ses mots empoisonnés il l’avait convaincue, corrompu son être déjà souillé par une naissance indésirée.premiers cris à mordre la poussière dans les bas fonds des enfers. débris sibyllins gravant l’encéphale, d’ces rues de {origines/lieu de naissance copenhague } capturées en rafale. nuances du dannebrog s’déversent dans ses racines. se sent ni d’ici ni d’là-bas, la vermine. autres originesinconnues au bataillon. y’avait que l’abandon qui rythmait sa vie comme une chanson. d’ces foyers qui n’en étaient pas, saleté passait d’toit en toit. entre la froideur de quatre murs face à sa solitude en démesure. épave emportée par l’océan en quête de l’autre continent.sentiments posés sur papier comme le reflet d’son coeur écorché. écrire pour s’évader; écrire pour respirer. gribouille ses maux sans jamais s’arrêter. {occupation auteure-compositrice } aux paroles cicatrices. l’chaotique en musique. parsème les partitions à coup d’crayon. graphite colorant chaque portée de noir; d’ses notes de désespoir. l’âme en peine d’cette passion qui hurle à en perdre haleine.l’amour en point d’interrogation. parasite en manque d’affection. cherche à corps perdu ce sentiment inconnu. rêve de tout en n’connaissant rien. l’coeur à vif pour l’être qui l’détient. {orientation sexuelle bisexuelle } aux désirs charnels. n’erre que dans l’tourment des histoires sans lendemain ou les idylles aux sombres desseins. d’ces touchers implorés pour se sentir e x i s t e r. épiderme s’embrase sous les baisers. euphorie factice; corps et âme offerts en sacrifice.d’ses mots qui sonnent comme des rêves, comme des caresses au bout des lèvres. résonnent en ce coeur qui crie famine; l’écho d’émotions orphelines. coup d’foudre en plein milieu de l’orage. sentiments carnage. {statut civil a vendu son âme } au diable, menée dans sa danse macabre. toi et moi pour la vie. de l’ivresse en promesse. d’voeux soufflés pour l’éternité. alliances échangés d’un coup d’tête. las vegas que rien n’arrête. deux ombres en perdition, myocardes gueulent à l’unisson. c’est gorgé de poison jusqu’à en perdre la raison. ils s’aiment, se haïssent. s’enchaînent, se pourrissent. d’baisers embrasés aux saveurs sanguines. les je t’aime qui s’arrachent d’sa langue assassine. leslui, lui, lui.je te hais comblés d’(l)armes affûtées. putain d’bombes prêtes à exploser.
d’ton nom à jamais gravé en mon âme
à l’encre sang s’dessinent nos désirs infâmes
et on partira demain. loin, très loin.
vers l’infini et l’au-delà.
où personne ne nous trouvera.n i e l s d’la lame déposée au coeur,
tu me tuerais? ça me dérangerait pas.
et l’diable murmure avec douceur,
couteau glisse du bout des doigts.
un coup. j’pourrais en un coup.l’appel du vide. fait écho dans l’crâne, d’ses pensées qui se fanent. songes en ébullition. exquisetraits de caractère ( . attention seeker. d’aurores en horreurs. tête sur l’point d’exploser. pourrie d’anxiété. insomnies & crises de f o l i e. touche pas à mon frère. myocarde cratère. volcan en éruption, magma aux mille et une illusions. s’mange des pilules de toutes les couleurs pour calmer ses peurs. s’défonce le gosier jusqu’à n’plus marcher. russian roulette. aime à en crever. s’meurt d’un amour empoisonné. love me harder; embras(s)e-moi avec fureur. les yeux revolvers. croix d’bois, croix d’fer; si j’mens je vais en enfer. boit les mensonges d’sa naïveté d’gosse abandonnée. impulsivité inexpliquée. this sounds illegal; i’m in. délicieuse vermine. ( paranoïa ). s’met dans tous ses états. émotions en vacarme. colère et crises de larmes. (( boom boom boom )) l’couteau jamais bien loin, fait couler l’sang d’ses propres mains.auto-)destructionborderline; coquille vide en manque de sensations. les sens laissés à l’abandon. s’déchire la chair porcelaine, remède aux démons-gangrène. i felt so much that i started to feel nothing. les mots, les mots, lesmaux. tapisse l'papier de sang, hurle l’prénom de l’amant.mort l’appelle, faucheuse ensorcelle. tendance au suicide. langue perfide. poison gorge l’hémoglobine. baisers c o c a ï n e. jalousie maladive; passion excessive. i’d kill for you; i'll die with you. l’besoin d’aimer et d’être aimée. pour s’sentir vivre et s’voir mourir.and you don’t know if she’s gonna kiss you or kill youft. victoria de angelis | groupe. guilty | crédits. cassiopeias (icons)
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alys au pays des merveilles
∞ ◃◃ ⅠⅠ ▹▹ ⇄
arrivé le : 05/07/2022
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∞ ◃◃ ⅠⅠ ▹▹ ⇄
{intro }
sur le drap blanc d’un jour d’hiver
premier cri sous les rayons d’soleil
ta carcasse échouée sur l’quai désert
après une longue nuit sans sommeil
t’avais que seize ans et déjà mère
les sclérotiques injectées d’vermeil
d’ce gosse tu n’savais pas quoi faire
et j’étais là au pays des merveilles
{verse 1 }
quelques mois, un nouveau toit
un foyer aux semblants d’amour
pour essayer de raviver l’émoi
oh, j’pensais que c’était pour toujours
mais l’problème, c’était moi
et un jour, le point de non retour
au revoir copenhague, bonjour détroit
j’embrassais l’avenir d’mes lèvres de velours
{pre-chorus }
j’étais seule, il m’avait tendu la main
la gentillesse au creux de son regard
d’sa voix douce, me disait qu’tout irait bien
que "maman" était partie, qu’elle reviendrait tard
{chorus }
regarde-toi, elisabeth
personne veut d’toi
faut l’voir à ta tête
au sang sur tes doigts
regarde-toi, elisabeth
jetée une nouvelle fois
aux démons qui guettent
d’ces émotions en émoi
d’leur voix que rien n’arrête
et toi, e l i s a b e t h, tu rêvais d’quoi?
du pays des merveilles
{verse 2 }
t’étais comme la lueur au fond du tunnel
l’oxygène au milieu d’un monde trop cruel
quand tu m’as dit que tout ira bien
que tu seras toujours là, jamais loin
la chaleur que j’ai toujours voulu
l’réconfort que j’pensais à jamais perdu
on était qu’des enfants abandonnés
mais dans l’malheur on s’était trouvés
main dans la main à travers cet enfer
etkaz jusqu’au bout, tu seras mon frère
{bridge }
p’tites mains enchaînées à l’illégalité
les paumes souillées avec les années
d’cette came qu’on respirait à plein nez
et du jour au lendemain, démantelé
deux paumés remis en liberté
{chorus }
regarde-toi, lys
personne veut d’toi
faut l’voir à tes vices
au sang sur tes doigts
regarde-toi, lys
jetée une nouvelle fois
aux démons qui surgissent
d’ces émotions en émoi
d’leur voix gorgée d’malice
et toi, l y s, tu rêves de quoi?
du pays des merveilles
{outro }
et la tête dans les étoiles, sous le clair de lune
s’échouent les pétales d’un amour qui s’consume
(( now press repeat ))
sur le drap blanc d’un jour d’hiver
premier cri sous les rayons d’soleil
ta carcasse échouée sur l’quai désert
après une longue nuit sans sommeil
t’avais que seize ans et déjà mère
les sclérotiques injectées d’vermeil
d’ce gosse tu n’savais pas quoi faire
et j’étais là au pays des merveilles
{
quelques mois, un nouveau toit
un foyer aux semblants d’amour
pour essayer de raviver l’émoi
oh, j’pensais que c’était pour toujours
mais l’problème, c’était moi
et un jour, le point de non retour
au revoir copenhague, bonjour détroit
j’embrassais l’avenir d’mes lèvres de velours
{
j’étais seule, il m’avait tendu la main
la gentillesse au creux de son regard
d’sa voix douce, me disait qu’tout irait bien
que "maman" était partie, qu’elle reviendrait tard
{
regarde-toi, elisabeth
personne veut d’toi
faut l’voir à ta tête
au sang sur tes doigts
regarde-toi, elisabeth
jetée une nouvelle fois
aux démons qui guettent
d’ces émotions en émoi
d’leur voix que rien n’arrête
et toi, e l i s a b e t h, tu rêvais d’quoi?
du pays des merveilles
{
t’étais comme la lueur au fond du tunnel
l’oxygène au milieu d’un monde trop cruel
quand tu m’as dit que tout ira bien
que tu seras toujours là, jamais loin
la chaleur que j’ai toujours voulu
l’réconfort que j’pensais à jamais perdu
on était qu’des enfants abandonnés
mais dans l’malheur on s’était trouvés
main dans la main à travers cet enfer
et
{
p’tites mains enchaînées à l’illégalité
les paumes souillées avec les années
d’cette came qu’on respirait à plein nez
et du jour au lendemain, démantelé
deux paumés remis en liberté
{
regarde-toi, lys
personne veut d’toi
faut l’voir à tes vices
au sang sur tes doigts
regarde-toi, lys
jetée une nouvelle fois
aux démons qui surgissent
d’ces émotions en émoi
d’leur voix gorgée d’malice
et toi, l y s, tu rêves de quoi?
du pays des merveilles
{
et la tête dans les étoiles, sous le clair de lune
s’échouent les pétales d’un amour qui s’consume
(( now press repeat ))
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- still don't know my name(( you still don't know my name ))
0:21 ────●────────────── -3:56
alys au pays des merveilles
∞ ◃◃ ⅠⅠ ▹▹ ⇄{intro }
sur le drap blanc d’un jour d’hiver
premier cri sous les rayons d’soleil
ta carcasse échouée sur l’quai désert
après une longue nuit sans sommeil
t’avais que seize ans et déjà mère
les sclérotiques injectées d’vermeil
d’ce gosse tu n’savais pas quoi faire
et j’étais là au pays des merveilles
{verse 1 }
quelques mois, un nouveau toit
un foyer aux semblants d’amour
pour essayer de raviver l’émoi
oh, j’pensais que c’était pour toujours
mais l’problème, c’était moi
et un jour, le point de non retour
au revoir copenhague, bonjour détroit
j’embrassais l’avenir d’mes lèvres de velours
{pre-chorus }
j’étais seule, il m’avait tendu la main
la gentillesse au creux de son regard
d’sa voix douce, me disait qu’tout irait bien
que “maman” était partie, qu’elle reviendrait tard
{chorus }
regarde-toi, elisabeth
personne veut d’toi
faut l’voir à ta tête
au sang sur tes doigts
regarde-toi, elisabeth
jetée une nouvelle fois
aux démons qui guettent
d’ces émotions en émoi
d’leur voix que rien n’arrête
et toi, e l i s a b e t h, tu rêvais d’quoi?
du pays des merveilles
{verse 2 }
t’étais comme la lueur au fond du tunnel
l’oxygène au milieu d’un monde trop cruel
quand tu m’as dit que tout ira bien
que tu seras toujours là, jamais loin
la chaleur que j’ai toujours voulu
l’réconfort que j’pensais à jamais perdu
on était qu’des enfants abandonnés
mais dans l’malheur on s’était trouvés
main dans la main à travers cet enfer
etkazjusqu’au bout, tu seras mon frère
{bridge }
p’tites mains enchaînées à l’illégalité
les paumes souillées avec les années
d’cette came qu’on respirait à plein nez
et du jour au lendemain, démantelé
deux paumés remis en liberté
{chorus }
regarde-toi, lys
personne veut d’toi
faut l’voir à tes vices
au sang sur tes doigts
regarde-toi, lys
jetée une nouvelle fois
aux démons qui surgissent
d’ces émotions en émoi
d’leur voix gorgée d’malice
et toi, l y s, tu rêves de quoi?
du pays des merveilles
{outro }
et la tête dans les étoiles, sous le clair de lune
s’échouent les pétales d’un amour qui s’consume
(( now press repeat ))
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fucked up catastrophe
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