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dressed to kill.



mae kwon
arrivé le : 26/10/2022
messages : 1224
faceclaim : im jinah (nana)
credits : oim
mae kwon
grande gueule, grosse personnalité
turn on

mae
kwon

ft. im jinah (nana)whiskey in a teacupdaddy issues ☽ fuck u ☽ fashion ☽ queen ☽ bad bitch ☽ $$ ☽ divine violence ☽ she's brave ☽ heart(broken) ☽ femme fatale ☽ fighter ☽ R18 ☽ grande gueule ☽ dream big ☽ self-confident

(c) elysion


the ends beginning

the only home I know is my bed

seven deadly sins

wrath
whatever is begun in anger ends in shame
( identité )


aiguilles claquent sur le pavé, écrasent les cendres d'un passé (presque) oublié. park qu'on ne prononce pas, qu'on ne pense même pas. qu'son fantôme pour venir hanter les convictions pourtant bien ancrées. arbore kwon avec fierté, honneur à la mère qui a tant enduré. trop jeune pour un amour brisé, trop jeune pour une éducation à endosser. mae; simple, fort, percutant. comme le souffle du printemps; comme l'espoir d'un futur brillant. l'ambition déjà scellée en son nom, trace son propre chemin pour que son sacrifice n’ait pas été vain.
maman, tu n'te serais pas oubliée pour rien.




sloth
what is right is often forgotten by what is convenient
( âge )


l'temps passe et laisse des stigmates que rien n'efface. façonne la femme au gré de ses vingt-cinq étés. mais c'est un vent glacial qui s'invite quand les maux frappent le crâne. cachent à travers les années une triste réalité: gamine paie les conséquences d'sa lâcheté. l'père parti s'oublier dans d'autres reins (l'père l'a oubliée du jour au lendemain).
papa, quand est-ce que tu reviens?




pride
we are rarely proud when we are alone
( origines )


l'existence rythmée par l'imprévu, qu’un accident depuis le début. c’est c’qui arrive quand des ados se croient tout puissants; quand l'impulsion d'un coup d'folie devient une sombre connerie. sans retour en arrière, des responsabilités pour la vie entière. l'histoire commence à détroit, s'y terminera certainement. corée du sud s’écoule dans le sang. les racines s'ancrent sans jamais s'en détacher, l'héritage fièrement gravé dans l'identité.
et tu marcheras toujours la tête levée.




gluttony
the gluttons dig their own graves with their teeth
( statut civil )


les relations s’enchaînent (les relations l’enchaînent); défilent sans qu’elle puisse trouver satisfaction. s’tape toujours le poids de sa réputation. pute, nympho, pétasse. c’est qu’elle s’en lasse; d’ces hommes, d’cette routine. parce que y’a ses pulsions qui la dominent. l’corps entre dans la danse mais l’coeur reste sous silence. n’est qu’électron libre sorti de son orbite. faut toujours que ça aille plus vite. puis y’a la raison qui la ramène sur terre, la volonté de ne pas décevoir sa mère. en couple avec un homme trop bon (trop con), trop parfait pour susciter la passion. c’est ennuyant à en crever, la perfection. s’veut pourtant irréprochable, veut sortir d’cette vie amoureuse exécrable.

mais t'es qu'une pute
t'entames ta chute

ce n’était qu’un message privé, que quelques mots échangés. assez pour attiser sa curiosité, assez pour la faire vriller dévier. quand l’intensité devient une réalité, l’attraction trop forte pour résister. andy; c’est l’erreur qui devait arriver. le secret bien trop difficile à garder quand y'a l'amitié à la clef.
t’es une salope et ça n’va jamais changer.




greed
to greed, all nature is insufficient
( occupation )


les rêves plein la tête, l’âme part en conquête. rien qui l’arrête. l’besoin de sortir de ce trou à rats, puise la force pour n'pas baisser les bras. l’crayon griffonne, l’papier se chiffonne. sous les traits gris, les corps se dessinent. habillés de couleurs du bout d’sa mine. étudiante en art, y ajoute une pierre à l’édifice. d’un empire dont elle sera la créatrice. fashion designer dans un coin de l’esprit, s’voit déjà saluer les défilés de paris. goûts de luxe à assouvir, dettes à amortir. devient reine d’une nuit ou deux. l’corps qui se déhanche sous leurs yeux. natrium; la brillance de l’argent. intouchable, princesse soigne les tourments. offre illusions et fantasmes dans l’obscurité des portes fermées.
tu vends les rêves que tu n'as pas encore touchés.




lust
sex is the consolation you have when you can't have love
( orientation sexuelle )


s’laisse porter par les pulsions, croque la pomme de la tentation. s’délecte des plaisirs donnés et reçus, des draps froissés qu’elle ne compte plus. n’a de désir que pour les hommes, cherche en eux le seul qui n’a jamais voulu d’elle (cherche son reflet à lui derrière leurs prunelles). se sent revivre sous leur toucher, se sent puissante sous leur regard attisé. ils sont sa faiblesse, mais le remède à son coeur en détresse. un couteau à double tranchant; car ne peut supporter quand leur attention est détournée.
tu t'es promise que plus personne n’te claquerait la porte au nez.



envy
jealousy is the tie that binds, and binds, and binds
( caractère )


devil face
la grande gueule toujours ouverte pour laisser entrevoir la langue aiguisée. acerbes sont les paroles acérées; n’réfléchit jamais avant de parler. fuck you. écrase sans pitié ceux qui oseraient trop la chercher. dure à cuire. n’écoute personne, n’suit que ses désirs. $$$$$. l’âme d’une leadeuse. bien trop curieuse. envie d’tout savoir, fout son nez dans toutes les histoires. femme fatale; bordel sentimental. sensuelle à souhait, jusqu’à dans l’excès. use d’son charme comme une arme. confiance en soi exacerbée, cherche le spotlight pour briller. daddy issues. veut toujours avoir raison. orgueil à profusion. l’attitude hautaine; la rage dans les veines.
i don’t fucking care.

angel thoughts
l’besoin de protéger, d’être le bouclier qu’elle aurait aimé avoir dans l’passé. mommy’s girl. douceur cachée derrière la façade exaltée. workaholic, n’lâche pas ses objectifs. ambition à son avantage. l’rêve bien trop grand pour une gamine de bas étage. $. l’contact facile, l’sourire indélébile. extravertie, déborde d’énergie. wild but loyal. l’épaule sur laquelle pleurer, celle sur qui l’on peut compter. s’plie en quatre pour les êtres chers. fais-leur du mal et j’te fais la misère.
i do fucking care.



off with the head

so long, farewell, i'm on my own
at home

22/08 — 176 cm — $$$ — droitière — pop/rock — gold — spring — sushis — mom's place — coco chanel

« fuck off »

playlist
lily allen; fuck you
christina aguilera; fighter
natalia kills; problem
lana del rey; off to the races
joan jett and the blackhearts; bad reputation

astro signe du feu; étincelles dans les yeux. incendie ravage tout sur son passage. lion hors de sa cage. grande personnalité qui n’cherche qu’à briller, à sortir du lot en montrant ses crocs.

particularités la silhouette parsemée d’esquisses, d’un noir en accord avec ses iris. trouve sa zone de confort dans l’extravagance des traits dessinant le corps | carnet d’croquis à portée de main, puise son inspiration dans l’quotidien. dégaine l’crayon pour y dévoiler sa première collection. les idées fusent à toute vitesse, au gré des rêves qui l’appellent sans cesse. | duel de regards; accroche toujours l’attention à son égard. n’lâche pas, comme un jeu d’enfant. et le sentiment d’victoire lorsque leurs yeux se détournent.

mae kwon
arrivé le : 26/10/2022
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mae kwon
grande gueule, grosse personnalité
turn on

in these walls

i dug this grave i call my home
greg: t’as un problème putain, va t’faire soigner.
mae: t’as dit quoi là?! répète un peu?!
greg: ton caractère de merde, faut faire quelque chose là
mae: ah ouais, t’sais ce que j’vais faire? tu dégages. dehors. pas besoin de toi, c’est fini.

la porte claque, les murs s’agitent. frissonnent sous la rage accumulée. débris d’verre sur le parquet usé. t’as encore explosé. fallait pas m’chercher; l’excuse maintes fois répétée. tu les fais sortir avant qu’ils te fassent souffrir. l’image du paternel qui te nargue à travers leurs prunelles. dégage, dégage, dégage. t’es prête à faire un carnage. à tuer ce trauma qui te poursuit, qui hante encore parfois tes nuits. la chambre vide, la valise pleine. ses lèvres tremblantes à supplier qu’il revienne. trop jeune pour faire quoi que ce soit, trop jeune pour faire entendre ta voix. il est parti. d’une absence que t’as réussi à surmonter; à n'enchaîner que les histoires ratées.

au fond, t’as envie de le retrouver.



john: tu m’appartiens.
mae: pardon?
john: t’es à moi, t’as pas à parler à tous ces mecs.
mae: haha bah écoute, si c’est comme ça on va pas continuer, hein. j’ai pas à te parler non plus alors. ciao.

réputation t’colle à la peau. t’es celle qu’on adore, t’es celle qu’on déteste. jugée pour tes moindres faits et gestes. à te balader de draps en draps, de bras en bras. l’ennui des corps car le tien en demande plus encore. l’insatisfaite. putain d’étiquette. t’es la dévergondée, l’effrontée. t’es bonne qu’à baiser. la grande gueule qui laisse rien tomber; qui sait jamais quand lâcher. t’sais ce que tu veux, y’a la fureur dans les yeux. tu cherches les regards (tu l’cherches depuis son départ).

au fond, tu sais qu’il est trop tard.



sam: ça va t’servir à quoi les études d’art? il y a aucune offre d’emploi.
mae: c’est la mode que j’veux faire.
sam: c’est encore pire. t’as cru que t’allais devenir la prochaine chanel?
mae: t’es là pour quoi, au juste? soutenir ta meuf un minimum, tu connais? parce que sinon tu peux prendre la porte, tu la connais la sortie.

les doigts glissent sur les morceaux de tissus, sur l’point de créer ta première tenue. bercée par le son régulier de la machine à coudre. la passion en un coup d’foudre. les temps sont durs. elle te l’a appris au fur et à mesure; transmis les bases de c’qui était une nécessité. mais t’en as fait un rêve impossible à lâcher. l’inspiration insatiable, pour vous sortir d’cette vie misérable. tu nourris l’orgueil qui pulse dans tes veines, persévère jusqu’à ce que l’âme s’éteigne. à imaginer l’empire que t’étais en train de créer.

au fond, tu voyais déjà le monde à tes pieds.



mae: quoi, t’abandonnes encore? et tu comptes faire quoi, là?
ali: j’sais pas, baby. j’suis perdu, j’en sais trop rien. c’est flou. j’sais pas où je vais. j’sais pas où on va.
mae: oh arrête un peu de te lamenter, j’ai pas le temps pour ça. j’vais pas répondre à ta place.
ali: mais j’ai besoin de toi…
mae: pas moi. désolée. faut savoir c'que tu veux.

tu l’entends encore parfois pleurer dans sa chambre. la lumière encore allumée, le corps qui tremble. l’appel à l’aide que tu n’peux ignorer; parce qu’elle t’a tout donné (pour toi, elle a tout sacrifié). mam’s, j’suis là. carcasse frêle s’écroule dans tes bras. négligence que tu n’comprends toujours pas. tu portes l’poids de sa culpabilité, le poids du rêve qu’elle a dû abandonner. les dettes qui continuent de s’accumuler. t’es son pilier, elle est le tien. car sans elle, tu n’serais rien. témoin d’sa descente aux enfers, d’cette fragilité jugée délétère. il serait resté si tu ne t’étais pas laissée faire.

au fond, t’es plus sensible que t’en as l’air.


mae kwon
arrivé le : 26/10/2022
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credits : oim
mae kwon
grande gueule, grosse personnalité
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nightmares

fucked up catastrophe
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