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— brûle-moi.



niels ferry
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niels ferry
jlm à la folie jlm comme pas permis
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and in the middle of my chaos,
there was you.
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|FROM : LYS|
(troisième message)
t’es où baby? tu me manques. j’ai envie de te voir. j’en ai marre d’être seule. j’ai besoin que tu sois là. tu rentres quand? réponds-moi…
message effacé.


ils s’aiment à mourir
ils se tuent pour se sentir revivre


et la déchéance est belle. d’valse brutale entre deux carcasses soumises à leur amour venimeux. poison sensuel où les corps se touchent, s’baisent sous la passion enivrante. se retrouvent après l’absence de quelques jours, le manque d’une éternité. s’percutent comme s’il n’y avait rien d’autre à faire, rien d’autre à offrir. l’hymne à leur bonheur factice. désuet à la normalité. parce qu’ils sont les gamins des péchés. les déchets d’cette putain de société. s’donnent à feu et à mort. s’abandonnent à sang et au vide. d’sentiment d’urgence, d’vitesse dans les gestes. d’peur que l’autre ne disparaisse. qu’il ne soit qu’un rêve. qu’une illusion à leur high en perdition. ils s’frappent, s’étranglent. d’amour et d’émotions hurlantes. d’haine et de larmes. ils s’déchirent, se mordent. parce q’ils s’adorent un peu trop fort. ils ne sont que les amants bafoués.

| ET TU N'ES QUE LE DIABLE QU'ELLE A CONDAMNÉ |

allumes la clope entre tes doigts, d’réflexe quand l’âme ne plane plus. volute s’envole dans les airs alors que l’odeur crasse vos peaux. moment d’accalmie, instant de grâce quand les cieux furent touchés. ne rester que le silence, d’vos souffles en musique rythmée par les désirs assouvis. d’un bien-être innommable collé à ton âme en cendres parce que le feu de vos envies vous aura détruit. la touche encore, contact nécessaire. besoin qu’elle soit près de toi. besoin de garder ton empreinte sur elle. (lys, lys, lys) obsession incessante. d’ta personne aliénante. alors que la force est devenue douceur. alors que les coups sont devenus caresses. d’corps emmêlés et ne plus vouloir bouger. que ce moment reste éternel. gravé à vos chairs. comme les ecchymoses sur son épiderme de porcelaine. comme les griffes à ton dos torturé. oeuvre de vos sentiments immaculés. à la grandeur de la folie qui habite vos esprits. celui qui s’active à la regarder. se remémore les mots échangés, les promesses faites en quelques lettres envoyées. d’une lame qui signerait son être. d’un gun à vos tempes en fièvre. à bouger pour la première fois depuis le magma des désirs. d’une dominance que tu reprends, surplombe son corps en hauteur. empoigne son visage alors que le tien s’illumine d’une démence nouvelle. — t’es prête à crever ? d’une euphorie qui pulse dans les veines. le démon gronde, lucifer renaît.


parce que pour toi, j’ai tout quitté
et que pour toi, j’vais rester



(c) mars. & strange-hell (icons).

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niels. carmin se dessine sur l’épiderme déjà embrasé. les rives de tes sentiments exagérés. violents, décadents. résonnent les rires d’enfants. ode à un amour pur. immaculé en démesure. niels. bleu monte aux joues, emprise grave le cou. frissons galopent le long de l’échine. cris que le coeur piétine. étouffés, l’souffle coupé. car il est de toute beauté. niels. chant gronde, s’entend à des kilomètres à la ronde. tu l’gueules plus fort, te laisses posséder d'tout ton corps. l’offres à l’être aimé, à l’être désiré. parce que t’aimes sans compter. niels. brûles sous ses doigts, à en perdre la voix. brûles sous son toucher, carcasse se sent envolé. le monde plongé dans l’oubli. tu n’vois que lui. coeur hurle, explose la cage. sentiments en rage. déferlent le long de sa peau, au rythme de tes mots.

« je t'aime. »

le regard ne le quitte pas. parcourt celui devenu roi. yeux brillent; pensées vrillent. t’en perds la tête. et pour une fois, tu veux pas que ça s’arrête. tu l’aimes. d’une folie à cramer les veines. comme une drogue insidieusement injectée. celle qui te tues à petit feu; l’origine de tous tes vœux. niels. les démons se sont tus; ne murmure que le myocarde déchu. ça bat que pour lui, ça vire en tachycardie. à se sentir revivre à ses côtés, jusqu’à vouloir en crever. tu le regardes encore et toujours, d’tes prunelles gorgées d’amour. c’est beau, c’est laid. c’est trop, c’est mauvais. niels. tu veux le sentir au plus près de toi. tu pourrais mourir si tel était son choix. t’y peux rien, c’est comme ça. il te possède dans l’creux de sa main. tout ton être, toute ton âme. t’es malade, mais il est infâme. tu t’en fous (vous êtes fous), tu l’aimes (t’as un problème). niels. tu le lâches pas. tu l’serres contre toi. plus près, toujours plus près. tu n’connais que l’excès. parce que ça te dévore, cette peur qu’il s’en aille encore. ça t’bouffe les organes, ça t’pollue le crâne. comme un poison; t’en perds la raison. niels. tu t’laisses faire, l’visage écrasé sous son air fier. d’ses phalanges à en briser ta mâchoire, comme des caresses que tu cherches du regard. — prête pour quoi, baby? un second round? l’sourire grandit, dilate les pupilles. rire s’évapore sous le poids de son corps (sous le poids de ton sort). t’es dans sa ligne de mire. l’diable danse au gré de ses désirs. tu succombes à tous les coups: pour lui, tu ferais tout. curiosité anime tes sens, carcasse reste en silence.

il t’a dans la peau, tu l’as dans la tienne.
à creuser votre tombeau d’une euphorie malsaine.

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niels ferry
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|TO : LYS|
(niels est en train d'écrire...)
j’peux pas… ils ont été plus fort qu’moi. ptn d’trois. j’ai la gueule en sang, j’dois m’soigner. c’toujours elle qu’il l’faisait...
message supprimé.


ils s'abiment encore
ils s'déchirent un peu plus fort


et ça ne ressemble en rien à ce qu’ils ont connu. d’un hasard qui a frappé, l’coup de foudre qui est en train de les tuer. à s’empreindre de l’existence de l’autre. comme s’ils y avaient toujours été, comme s’ils étaient là pour rester. d’promesses non-dites en brûlure sur leurs lèvres rougies par la fureur de leurs baisers. d’adoration peinte comme oeuvre d’art. d’constellations et d’voie lactée sur la peau. de bleu et de rouge. de noir et de violet. la douleur comme amour belliqueux. la violence comme passion insatiable. tracent leurs sentiments sur l’autre pour ne jamais s’oublier.

| ALORS QUE LEURS ÂMES SERONT LIÉES POUR L’ÉTERNITÉ |

tu la fixes comme si c’était la première fois que tu la voyais, comme s’il y avait encore des détails à découvrir. cascades de blé emmêlées, d’joues en fusion par les plaisirs consommés. d’sourire malsain pour défaire les traits. d’une fierté poison de ce que tu as fait sur elle. le résultat de ton emprise, l’artiste et son art en exposition. ça t’consume de l’intérieur, maniaque à l’idée qui grandit en ton esprit. d’souvenirs du défi exprimé en message. d’preuve qu’elle était à toi, qu’elle était digne d’être avec toi. même si, niels, tu la mérites pas. d’connaître ses limites, jusqu’où elle pouvait aller. et ça fourmille au bout de tes doigts. d’ceux qui l’empoignent, la maintiennent face à toi. pour t’plonger dans son regard, t’y encrer pour t’y scruter comme un miroir. y percevoir l’éclat doré d’cette folie qui l’anime. l’étincelle d’euphorie qui scintille quand ses opales s’posent sur toi. votre belle démence. l’envie d’lui faire mal qui démange. l’sourire s’étire, d’pupilles se dilatent. — non, tu dois m’montrer c’que t’es prête à faire pour moi. carcasse s’déplace jusqu’à l’avant. d’vos corps qui se détachent, s’éloignent pour la première fois. d’une arme lancée contre le matelas, atterrie face à elle. supercherie qui n’est que le début du jeu. d’un pile ou face contre le destin. une chance sur six. d’elle contre toi. à lui revenir, t’positionner face à elle. complètement fou, l’horreur maquillée en couleur sur le visage. parce que lucifer n’a que faire de crever le premier. mais gamine ne sait pas ce qu’elle a signé. l’pacte n’est pas seulement que de sang. d’sa vie qu’elle est en train de jouer. — roulette russe, t’connais ? alors que le canon s’élève, s’approche en millimètre contre sa bouche. d’gestes théâtrale, tu tires dans le vide. mascarade grotesque.


mais dans ta tête, tu la tues pour qu’elle soit tienne.


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songes en tempête. ça t’monte à la tête. ça t’crame les veines, t’bouffe l’oxygène. à ses côtés tu n’respires plus. il est aussi l’air qui t’rend vivante te hisse hors d’tes pensées nécrosantes. comme si tu l’avais cherché toute ta vie; l’issue à tes instants maudits. épée de damoclès prête à te trancher. cette carcasse que tu continues d’traîner (noire de crasses, t’es qu’une traînée). cassette qui tourne en boucle, passion qu’tu cherches en double. tu veux plus, toujours plus. t’veux pas moins, c’est tout ou rien. la foire aux excès. et personne pour crever l’abcès. t’es dérangée (il est fêlé). tant que t’auras pas c’que tu veux, l’écarlate continuera de couler. tant qu’on aura pas éteint le feu, tu continueras d’crever. mais il te rend vivante, niels. vivante dans ta mort lente. notes funèbres sonnent moins faux. t’oublies un peu la profondeur de tes maux. 

(( we have always been meant to burn together ))

jusqu’à ce qu’il en soit à l’origine. d’une douleur à en ronger l’échine. quand il part, en ne laissant qu’un dernier regard. ça fait mal, tellement mal. t’as l’impression qu’arrive le coup fatal. ça fait mal, tellement mal. t’as l’impression d’atteindre ton point final. entrailles arrachées sans que tu puisses te relever. l’coeur laissé à l’abandon, à n’murmurer que son prénom. niels. rattaché à une dépendance maladive. toxicité en récidive. un amour délétère. un cancer. mais lys; tu aimes être malade (tu aimes rendre malade). tu l’veux que pour toi. gamin devenu roi. — baby, j’ferais absolument tout pour toi... l’air presque contrarié dans la voix. d’une évidence qui n’méritait pas de question. crèverais les étoiles s’il le voulait. décrocherais la lune si tel était son souhait. t’es le soleil qui s’embrase au premier regard. l’astre qui rase tout sans crier gare. tornade imprévisible; du tragique au risible. mais tu l’aimes tellement, plus rien n’importe. qu’il soit le dernier qui t’emporte. il est le rouge de tes artères. tu es le bleu de ses veines. vous n’êtes que le violet d’un amour gangrène. et c’est trop beau pour être vrai (tellement beau ça en est laid). azurs suivent ses gestes sans le quitter; d’ses paroles qui attisent ta curiosité. révolver lancé sur les draps. l’expression d’celle qui ne comprend pas. — roulette russe… phalanges en flingue. déposées sur ta tempe. l’sourire d’une dingue. tires sur la détente. — l’jeu où on fait pew et on joue avec la chance? t’veux crever aujourd’hui? étincelles aux yeux. comètes brillent de mille feux. l’adrénaline en escalade face à la mascarade. t’empares d’ses lèvres et d’son arme. bascules vos squelettes dans un vacarme. corps à terre, chair contre chair. à n’sentir que son souffle contre tes lippes; que son coeur entre tes tripes. l’cylindre tourne jusqu’à entendre un clic. s’élève contre ta peau d’un geste flegmatique. dernier baiser avant d’appuyer. myocarde toujours prêt à exploser. d’amour, de peur. émotions ressenties avec ardeur. le vide qu’il parvient toujours à combler. à chaque instant, avec tellement de facilité (parce que vous êtes tous deux fous à lier).

pas d'balle pour te tuer.

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ils s'touchent la peau
s'marquent pour faire taire les maux


il s’amuse avec le destin. doigts impétueux prennent la vie, la glisse entre ses phalanges squelettiques pour la regarder s’effriter. comme s’il était au bord d’un précipice, prêt à sauter. décompte silencieux vers ce qu’il croit la délivrance. le dernier souffle d’une vie qui aura duré trop longtemps. il regarde l’avenir s’étioler comme l’sablier qui s’écoule lentement. d’un karma brutal contre ses derniers jours qu’il croyait voir venir. s’étirent parce qu’il l’aura rencontré. alors il joue avec les heures d’un gun à ses lèvres, d’un pacte avec lucifer qu’il deviendra poussière. l’emportant avec lui dans son carnage.

| PARCE QUE LE DIABLE NE PEUT MOURIR VIVRE SANS ELLE |

les pupilles dilatées à l’adrénaline des émotions en pagailles. scotchée à elle, tu lui es revenu, l’idée te brûlant les lèvres. celles étirées par la soif de pouvoir, l’envie de la posséder. d’la tester pour qu’elle soit tienne. un peu plus fou en sa présence, de limites floues dont la cohérence n’a jamais existé. — si on est chanceux, on vit. s’approche, colle sa peau à la sienne. — et si l’un de nous crève, l’autre le suit. pinky? t’apporte avec elle dans sa chute, le sol à ton dos claque sans que tes opales ne la quittent. grimace dans un rire qui panse les blessures. observe, détaille les traits de ta furie. à ne manquer aucun geste, les doigts qui manient l’arme comme si elle était experte. presque impressionné, en admiration devant l’effronterie de ses manières. reine de sang, n’a pas froid aux yeux. n’a pas peur de ton l’obscurité. couronne de barbelées à sa tête, parce que lys est l'impératrice funèbre. d’une aura alléchante, poison dont on se délecte. elle te crève et te fait toucher le ciel. elle n’est qu’une addiction dans tes veines et niels, c’est elle qui sera ta perte. ferme les yeux en une fraction de seconde au déclic. d’la gâchette pressée, malmenée par sa témérité. t’exclames une fois encore, l’palpitant s’affole. s’cogne contre ta cage sous la folie du moment. à te relever, d’ton torse à son buste pour sentir son coeur vriller. — t’es putain de cinglée. de lèvres qui se percutent, capturent l’essence de l’euphorie d’une mort échappée. tu lui reprends l’arme de ses mains, à faire tourner l’canon pour jouer à ton tour. l’appose à ta tempe. que ton souffle contre sa bouche. l’index en apesanteur sur l’acier réchauffé par ses doigts. qu’un silence de quelques secondes. l’bleu de ses yeux contre la noirceur de tes prunelles. d’un décompte à t’en faire cramer la cervelle. — embrasse-moi pendant que je le fais.

trois, deux, un


faites que l’on crève
et que nos existences s’achèvent

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-- one night
lys: je t'aime, baby.
niels: (silence) ...je t'aime, love.
lys: t'es l'amour de ma vie.
l’charbon incandescent à faire vriller l’palpitant. ça crame, c’est noir. jusqu’au drame, jusqu’au désespoir. ça t’consume au point de t’écraser les tripes. ça t’percute la cage thoracique. et ce n’est que le début. l’vide n’est plus. comblé par le volcan en éruption, l’antre de tes pires émotions. tu ressens tout; tu n’contrôles rien. ça t’prend au cou; ça t’lie les mains. tu l’aimes à t’en charcuter les veines. à t’rendre folle, à t’laisser dévorer par le diable en personne. succombes à l’amour-poison; chaque goutte comme une addiction. tu t’enivres de cette euphorie qui te délivre, tu t’sens vivante sous l’emprise de l’épouvante. tu cherches, lys. il est l’coupable mais t’es sa complice. tu cherches à amorcer la bombe, tic tac à chaque seconde qui tombe. l’explosion, le magma en effusion. tu grattes chaque parcelle de l’âme pour en détacher ne serait-ce qu’une agitation, un frisson. de quoi ébranler cette carcasse amputée de sens. tu n’veux pas la colère, tu veux la violence. tu n’veux pas la tristesse, tu veux la dépression. tu n’veux pas le bonheur, tu veux le septième ciel. tu veux plus que de simples étincelles. tu veux l’ouragan, la tempête. la détonation qui éclate dans la tête (pour que le silence enfin s’arrête).

tu veux ta perte, elisabeth.

les azurs ne l’quittent pas. comme si dès le moment où tu lâches, il ne sera plus là. tu mettrais ta vie en jeu si c’est pour que vous soyez à deux (tu mettrais ta vie en jeu car elle n'vaut rien à tes yeux). l’froid du métal n’a jamais été aussi chaud. ça s’exalte le long d’ton dos. chaque seconde avec lui t’rend un peu plus folle à lier; plus amoureuse à en crever. pour lui, tu tuerais sans hésiter. pour lui, tu mourrais à ses côtés. sans réfléchir. car lys, tu l’aimes à en mourir. — pinky. auriculaires s’entrelacent. de promesses qui sonnent comme des menaces.

si tu meurs, je meurs.
et on se retrouvera ailleurs.
dans une vie qui voudra bien de nous,

dans un monde qui accepte les fous.


et le sourire s’agrandit, l’air totalement ahuri. chacune de ses paroles à ton égard n’est que compliment. tu l’embrasses du regard, l’enlace de tes sentiments. l’coeur résonne à une vitesse effrénée, au rythme des pulsions qui n’cessent de déferler. l’corps s’avance sans s’poser de question. baiser embrase vos âmes à l’unisson. comme si c’était le dernier. comme s’il allait te quitter. je t’aime. je t’aime, baby. j’te rejoins à la seconde. j’te retrouverai de l’autre côté, dans une autre vie et celle d’après. encore, et encore. la main s’dépose sur la sienne, attend la détente s’enclencher. tu restes sereine, affreusement apaisée. lui offre l’ultime baiser, parce qu’il te l’a demandé.

trois, deux, un

toi et moi, jusqu’à la fin.

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